L'auteur revient sur les lectures qui l'ont influencé, et sur certaines de ses lubies. Il évoque des auteurs asiatiques qui ont en commun avec lui une appétence pour les jeunes Japonaises attirées par la perversité. Il raconte également le jeu trouble et sensuel qu'il a mené avec la Lausannoise Candy.
Sous forme de prolongement du Journal d'Amiel, écrivain suisse dont l'œuvre fait dix-sept mille pages, Roland Jaccard imagine les derniers moments de la vie d'Amiel.